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Selon un rapport de Jinse Finance, Minh Phuong Ngoc Vong, un homme de 40 ans originaire du Maryland, a été condamné à 15 mois de prison et à trois ans de liberté surveillée pour avoir aidé des agents nord-coréens à s'infiltrer secrètement dans des entreprises technologiques américaines. Entre 2021 et 2024, Vong a utilisé de faux documents pour obtenir des postes de développeur logiciel dans au moins 13 entreprises américaines, lesquelles lui ont versé plus de 970 000 dollars de salaire, alors que le travail réel était effectué à distance par des agents nord-coréens basés en Chine. Certaines de ces entreprises ont même sous-traité les services de Vong à des agences gouvernementales américaines, y compris la Federal Aviation Administration (FAA), permettant ainsi à ces agents d'accéder sans autorisation à des systèmes gouvernementaux sensibles.

Selon ChainCatcher, d'après un rapport de Yahoo Finance, le fondateur de Aave, Stani Kulechov, a déclaré que les récentes directives fiscales sur la DeFi publiées par HMRC (Her Majesty’s Revenue and Customs) pourraient marquer un tournant pour le prêt crypto au Royaume-Uni. Le document précise que le dépôt d’actifs numériques ou de stablecoins tels que USDC ou USDT sur une plateforme DeFi ne sera pas considéré comme une cession imposable au moment du dépôt. En d'autres termes, lorsque les utilisateurs déposent leurs actifs cryptographiques sur une plateforme DeFi pour prêter, staker ou emprunter, cela ne déclenche pas d’impôt sur les plus-values. L’impôt sur les plus-values n’est dû que lorsque l’utilisateur dispose réellement de ses actifs (par exemple, en les vendant, en les convertissant ou en les liquidant d’une autre manière), et non simplement en transférant des tokens vers ou depuis un protocole DeFi. Selon cette nouvelle approche, ces transactions DeFi courantes relèvent de la catégorie « ni gain ni perte », offrant ainsi aux investisseurs des directives fiscales plus claires et plus pragmatiques. Kulechov a ajouté que la simplification de la méthode fiscale réduit la charge administrative, permettant une adoption plus large par les institutions, tout en facilitant également les opérations pour les utilisateurs particuliers.